Pour cette dernière étape de visite de Saint-Louis, je retrouve l’une de mes plus belles et vieilles rencontres sénégalaises, Cheikh Oumar, qui lui, est photographe.
Il va m’accompagner pour découvrir les environs de Saint-Louis et m’aider à prendre de jolies photos ! 😉
Nous souhaitons nous rendre au Lodge Ocean & Savane, situé à 45 minutes en voiture.
En quittant Saint-Louis, les paysages sahéliens se révèlent rapidement, avec leurs vastes étendues parsemées de majestueux baobabs.
On peut même apercevoir des dromadaires, probablement venus des confins du Sahara mauritanien, ajoutant une touche d’exotisme à ce décor typiquement africain.
Palmiers, baobabs, acacias… Nous en profitons pour faire une série de photos très sympas !
Après avoir traversé les vastes étendus sahéliennes, nous arrivons au village de Potou, niché dans la région de Louga.
Potou est réputé pour son grand marché, un lieu animé où les habitants des environs viennent échanger une variété de produits, allant des légumes frais aux objets artisanaux.
Ce marché est non seulement un centre commercial important, mais aussi un véritable carrefour culturel, où se mêlent les traditions locales et les influences des régions voisines.
Puis, nous arrivons au Lodge Ocean & Savane où nous sommes venus déjeuner et passer l’après-midi !
Le Lodge Océan & Savane est un refuge naturel entre le fleuve Sénégal, l’océan Atlantique et la savane.
Construit en harmonie avec l’environnement, ce lodge propose une expérience unique de détente et d’immersion dans la nature sauvage sénégalaise.
photo du Lodge Ocean & Savane ©
L’hébergement est composé d’une piscine à débordement vue sur le fleuve Sénégal et l’Océan Atlantique, d’un restaurant panoramique sur le ponton en bois.
Le restaurant propose des menus uniques à base de poisson ou de crustacés en fonction de l’arrivage du jour…
Les produits sont frais et les plats trop bons (oups, j’en ai oublié de prendre une photo 🤭!)
L’hébergement se compose de charmants chalets situés en bord de fleuve, chacun équipé d’une salle de bain à ciel ouvert et d’une terrasse panoramique.
Les chalets sont construits en bois de filaos, un matériau local prisé pour sa résistance et son intégration naturelle dans l’environnement.
Vue sur l’île depuis la petite terrasse est vraiment agréable et apaisante…
Nous profitons d’une superbe vue sur la confluence du fleuve Sénégal et de l’océan Atlantique, offrant ainsi un accès à une riche biodiversité où les eaux douces et salées se rencontrent.
Pour les amateurs d’ornithologie, cet endroit est idéal pour observer de nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs, ainsi que des poissons et autres animaux sauvages.
D’ailleurs, non loin, il y a le Parc National de Djoudj, un sanctuaire ornithologique e 16 000 hectares classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, qui accueille des millions d’oiseaux migrateurs, dont des flamants roses et des pélicans.
Nous pouvons également faire des balades en bateau sur le fleuve, explorer les paysages sahéliens environnants ou nous détendre sur les plages atlantiques tout en admirant les magnifiques couchers de soleil.
Je profite de la fin de journée pour faire un plongeon dans la piscine et profiter avec mon ami Cheikh Oumar, entre salon intérieur et terrasse extérieure.
Le Lodge Ocean & Savane est ainsi un point de départ parfait pour explorer la beauté naturelle et la richesse culturelle de cette région fascinante du Sénégal.
Merci à mon ami Cheikh Oumar Photography de ces quelques jolies photos 😉
Saint-Louis, quelle élégante ville côtière de l’Océan Atlantique.
On y ressent une atmosphère à la fois étrangère et familière. On peut admirer la délicatesse des balcons des magnifiques maisons coloniales et se laisser émerveiller par le dégradé des teintes ocres et jaunes que les rues offrent au gré des rayons du soleil.
En me rendant dans la ville de Saint-Louis, au Sénégal, j’avais bien sûr noté plusieurs adresses d’hébergements que je souhaitais découvrir, dont le mythique Hôtel de La Poste, situé face au pont Faidherbe.
Pour moi, visiter les établissements que je recommande dans mes voyages sur mesure au Sénégal est essentiel !
L’Hôtel de la Poste, adresse mythique de l’Aéropostale se trouve au cœur du centre-ville historique, à la sortie du pont Faidherbe.
Il a conservé son caractère originel, marqué par son histoire bien unique ! Il est une base légendaire pour les pilotes de l’Aéropostale, marquant l’histoire de l’aviation ✉️✈️
« Je savais qu’un jour, et un jour prochain, je volerai jusqu’ici.»
jEAN mERMOZ 👨🏼✈️🛩️🇸🇳
Jean Mermoz a prononcé ces mots en arrivant à Saint-Louis, au Sénégal, après avoir effectué la première liaison directe et sans escale entre Toulouse et Saint-Louis-du-Sénégal en 1930 (4.470 km en 23h23 à bord de son Laté 28).
L’Hôtel de La Poste à Saint-Louis est un véritable bijou au charme colonial. Son intérieur unique nous plonge dans une ambiance d’époque.
Autrefois un lieu important pour les pilotes, une partie de l’hôtel est maintenant un musée, où l’on peut découvrir des photos fascinantes sur l’histoire de l’aviation.
L’établissement s’étend sur 2 étages et propose 37 chambres, dont un penthouse avec une vue imprenable sur la ville.
Sa façade jaune éclatante ajoute une touche chaleureuse.
Séjourner à l’Hôtel de La Poste, c’est profiter d’un hébergement de qualité, qui a conservé toute son authenticité, tout en découvrant le riche patrimoine de Saint-Louis.
Une expérience à ne pas manquer lors d’une visite de la ville de Saint-Louis !
À seulement 50 mètres, Le Flamingo, relié à l’Hôtel de La Poste, est un lieu combinant bar, piscine et restaurant, au bord du fleuve Sénégal, avec une vue imprenable sur le pont Faidherbe.
C’est, à mon avis, le meilleur emplacement de Saint-Louis !
Pour la petite anecdote, l’astronaute Thomas Pesquet, personnalité que j’admire forcément beaucoup, a séjourné ici en 2019 !
Retrouver mon article sur les ruelles du coeur historique de Saint-Louis, l’île d’Ndar, ici !
J’arrive à Saint-Louis depuis Mbour en 3 heures de route. J’ai hâte de découvrir cette ville où je mets les pieds pour la première fois ; on m’en a tellement parlé en bien, il était temps !
Pour le transport, je prends un taxi partagé, mais bien sûr, lors de voyages organisés, je prévois un chauffeur privé. Je souhaite rappeler que je partage mes voyages personnels en solo, que j’aime beaucoup l’aventure et voyager local, mais que cela ne s’applique pas aux voyages que j’organise, bien entendu !
Saint-Louis, entre le fleuve Sénégal et l’océan Atlantique, offre des paysages divers : des plages de la Langue de Barbarie aux zones humides du Parc des Oiseaux du Djoudj, connu pour sa riche biodiversité.
Arrivés à Saint-Louis, j’aperçois rapidement le Pont Faidherbe sur lequel nous roulons pour accéder à la petite île historique d’Ndar, où se trouve toute la vieille ville : ses ruelles colorées, ses cafés locaux, le quartier des pêcheurs… C’est bon, je suis bien arrivée dans la ville de Saint-Louis !
Le Pont Faidherbe est sublime et donne un charme unique à la ville. C’est la signature de Saint-Louis, avec la touche reconnaissable de Gustave Eiffel. Ce pont est un monument historique et un symbole important de l’histoire coloniale.
Pour ce séjour à Saint-Louis, je passe 3 jours et 3 nuits sur place.
…Et c’est au cœur de l’île d’Ndar que se trouve mon hébergement !
Je séjourne dans une petite villa tellement charmante !
Oui, plutôt bien installée, dans cette perle jaune saint-louisienne !
Une villa secrète, aux 5 chambres uniques (contactez-moi !)
Je profite de ma fin de journée pour partir flâner dans les ruelles de l’île d’Ndar, m’immergeant dans la magie de ses couleurs et de son atmosphère unique.
La ville est connue pour son architecture coloniale, avec ses balcons en fer forgé et ses façades pastel, témoins de son passé de centre administratif et commercial.
En 2000, l’île de Saint-Louis a été classée au patrimoine mondial de l’UNESCO pour préserver cette richesse historique.
Les façades sont rouges, vertes, bleues…
Je me balade seule dans les ruelles, le sourire aux lèvres et profite d’un très agréable moment dans la capitale du jazz africain.
Ce surnom lui vient de son célèbre festival de jazz, l’un des plus prestigieux d’Afrique, qui attire chaque année des musiciens et des amateurs du monde entier.
Ma 1ère fin de soirée, je la passe avec Omar, le cousin d’un ami Touareg que j’ai rencontré à Mbour auparavant. Ici, il y a une grande communauté de Touaregs, ce peuple du désert du Sahara Occidental, qui s’étend jusqu’en Mauritanie, à seulement quelques kilomètres de Saint-Louis.
Nous nous retrouvons dans le très agréable restaurant-bar Flamingo, appartenant à l‘Hôlel de La Poste de Saint-Louis (retrouver mon article dédié à cet hébergement) !
Le lieu a justement une vue 360° sur le Pont Fedherbe !
Il me parle de l’histoire de Saint-Louis, l’une des plus anciennes villes coloniales d’Afrique de l’Ouest. Elle a été la capitale de l’Afrique-Occidentale française jusqu’en 1902, avant que Dakar ne prenne le relais.
Le passé colonial de Saint-Louis et les influences françaises se reflètent beaucoup et se retrouvent dans la cuisine, l’architecture, et les traditions locales.
Il me raconte aussi que la ville souffre énormément du changement climatique, avec chaque année, des centaines de maisons submergées par la montée des eaux.
Ma 2ème journée à visiter Saint-Louis, me permet de découvrir encore plus en profondeur le centre de la petite île d’Ndar.
J’en profite pour faire une balade photographique, comme j’adore…
Le grand plus de Saint Louis est qu’on peut tout faire à pied, et qu’il n’y a pas beaucoup de trafic dans les rues.
Je prends le temps de m’arrêter prendre un café, visiter une galerie, rencontrer des artistes et jeunes entrepreneurs.
Il paraît que le musée de la photographie est très intéressant ! De mon côté, our ma part, j’ai préféré opter pour explorer les vieilles bâtisses et profiter de l’ambiance unique de la ville.
Le Sénégal est un pays riche en artistes. Que ce soit au niveau de la musique et du jazz, mais aussi de la musique locale, du rap, de la mode, de la peinture, de la photographie…
Le fleuve Sénégal entoure l’île d’Ndar jusqu’à l’Atlantique à quelques mètres tout en marquant la frontière avec la Mauritanie.
Ce delta, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, est aussi une riche zone pour la biodiversité, la pêche, l’agriculture, et les transports locaux.
Je tombe par hasard le mythique Bou El Mogdad, le bateau légendaire qui traverse le fleuve Sénégal de Saint-Louis à Podor en une semaine.
Ce navire emblématique, autrefois le seul lien entre les communautés de la Vallée du Fleuve, incarne l’histoire et la culture fluviale de la région.
Et puis, Saint-Louis est surtout connu pour son port de pêche ! La pêche est essentielle à l’économie de Saint-Louis, créant des emplois et approvisionnant les marchés locaux.
Elle est aussi importante pour la culture et la cuisine de la ville, avec des produits frais au cœur des plats sénégalais.
En fin de journée, je profite des couleurs du coucher de soleil qui illuminent la ville, révélant une atmosphère différente. La chaleur s’atténue, et tout le monde commence à sortir.
Après seulement 2 jours à Saint-Louis, la ville a déjà conquis mon cœur. Bien que peu touristique, je me sens en sécurité en tant que voyageuse solo.
Les Saint-Louisiens sont accueillants, souriants et fiers de leur ville, et ils ont de quoi l’être !
Bien qu’ils puissent parfois être un peu insistants, un simple rappel poli, comme « je souhaite me promener tranquillement, » suffit généralement à apaiser leurs sollicitations 😉
« Saint-Louis, cette ville où les rêves prennent forme et les souvenirs s’enlacent avec la mer.
Cheikh Hamidou Kane
Saint-Louis est vraiment particulièrement agréable à visiter, pour son architecture coloniale unique, son ambiance historique, et ses paysages magnifiques entre fleuve et océan.
Comparée à la capitale, Dakar, Saint-Louis a une atmosphère plus tranquille et décontractée, ce qui en fait une destination prisée pour ceux qui cherchent à découvrir une autre facette du Sénégal.
SE DÉCONNECTER, C’EST LE NOUVEAU LUXE
A ceux qui souhaitent découvrir la Mer Rouge autrement, je ne pourrais que recommander de choisir Dahab ses environs, une destination paisible au charme indéniable.
La petite ville de Dahab (Or en arabe) se trouve sur la côte Est de la péninsule du Sinaï, au Nord-Est de la Mer Rouge, dans le Golfe d’Aqaba. Entre eaux claires et montagnes sinueuses à la couleur ocre, le cadre idyllique de Dahab se différencie distinctement des stations balnéaires d’Égypte grâce à la préservation de son authenticité, la diversité de ses paysages et aux ondes positives qu’elle génère.
Ancien village de pêcheurs, Dahab s’est transformé il y a seulement quelques dizaines d’années en une petite pépite balnéaire encore peu convoitée. L’architecture des bâtiments est plutôt récente mais le charme pittoresque d’origine bédouine de la ville de Dahab et des petits villages qui l’entourent, restent cependant intact.
Visiter Dahab et ses environs, c’est plonger dans une atmosphère de liberté en faisant un retour à l’essentiel le temps de quelques jours, dans une ambiance unique : Il se dit que de nombreux voyageurs qui sont venus découvrir Dahab n’ont jamais voulu en repartir, tant l’âme y est paisible et attachante.
Ce havre de paix se trouve géographiquement au carrefour des mondes du Moyen-Orient avec une vue superbe sur les montagnes d’Arabie Saoudite, d’Israël et de la Jordanie.
Je recommanderai de passer au minimum 3 jours sur place pour prendre le temps de profiter de ce lieu magique, au cœur des récifs coralliens de la Mer Rouge, des plages turquoise et des incroyables montagnes du Sinaï.
COMMENT SE RENDRE A DAHAB ?
Dahab est à une heure de route de l’aéroport international de Sharm el-Cheikh. L’aéroport est relié au Caire par plusieurs vols quotidiens en seulement une heure (compter environ 60€). La façon la plus économique de se rendre dans ce petit paradis reste le mini-bus (compter environ 20€ avec la compagnie Swvl) pour environ 9h de trajet à travers des routes surplombées par les majestueuses montagnes du Sinaï. Il est aussi possible d’arriver à Dahab en passant par Israël : l’aéroport d’Eilat est à 2h30 de route de Dahab.
En venant du Caire en voiture, la route pour se rendre à Sharm el Cheikh est extrêmement sécurisée et requiert des check points. La voiture est passée au scanner rayon X et la vérification des documents d’identité, fréquente. En effet, la péninsule est très surveillée à cause des instabilités encore bien présentes au nord. Personnellement, j’ai trouvé la présence militaire plutôt rassurante.
PLONGER A DAHAB
La mer Rouge permet d’explorer une faune marine incroyablement riche et colorée dans une eau transparente. La plongée bouteille comme le snorkelling à Dahab sont des sorties idéales pour l’observation des magnifiques murs de coraux se trouvant parfois à seulement quelques mètres du rivage. On y observe raies à points bleus, poissons clown, tortues marines (et aussi les requins-baleines de mai à juillet).
Non loin du cœur de Dahab, se trouvent deux lieux légendaires : les 3 piscines, un site particulièrement riche en coraux et poissons tropicaux et le Blue Hole, point de départ d’excursions aquatiques en snorkeling et en plongée.
EN QUELLES SAISONS ALLER A DAHAB ?
Il est possible de voyager à Dahab toute l’année. Seule la température de l’eau diffère au cours de l’année. De juillet à septembre (la saison la plus chaude), la température de l’eau atteint en moyenne 28°C. Le mois le plus froid pour plonger en Égypte est février, avec une température de l’eau à de 21°C environ. Les meilleures saisons pour aller à Dahab et plonger dans la mer Rouge sont de mi-septembre à fin novembre et de mi-mars à mi-juin.
QUE FAIRE A DAHAB ET SES ENVIRONS ?
Il est facile de se déplacer à pied dans la ville de Dahab car une longue promenade piétonne est aménagée le long de la Mer Rouge et du village. Parsemée de petits restaurants à l’inspiration bédouine, les espaces sont aménagés de façon très conviviale : tapis et coussins colorés, hamacs et balançoires : tout est réuni pour profiter de l’ambiance relaxante de Dahab tout en admirant les paysages montagneux et la Mer Rouge.
Au bout du chemin côtier, se trouve un lagon aux eaux cristallines avec les magnifiques montagnes du Sinaï en arrière-plan. Il est fréquent que les hôtels mettent à disposition des vélos qui permettent aux voyageurs de se déplacer à Dahab à leur rythme.
Les passionnés de sports nautiques peuvent choisir entre de nombreuses activités : kitesurf, paddle, planche à voile, parachute ascensionnel ou canoë-kayak.
A Dahab et ses environs, j’aime la diversité des hébergements qui sont pour tous les goûts et tous les budgets : maisons d’hôtes traditionnelles de quelques chambres seulement avec accueil et gastronomie locale, boutique-hôtels directement sur la baie ou encore hôtels de grand confort au charme bédouin.
LE VILLAGE DE NUWEIBA
Le village de Nuweiba, à une heure de route de Dahab est encore secret : sur une grande baie du golfe d’Aqaba aux paysages magnifiques, séjourner à Nuweiba permet de se relaxer dans un environnement singulier de retour aux sources, dans des camps bédouins aménagés et transformés en campements pour les voyageurs. J’affectionne particulièrement cet endroit pour son caractère hors des sentiers battu.
Ce petit village est un particulièrement authentique et surtout économique pour un séjour sur la mer Rouge. L’hébergement est la plupart du temps en petit camps bédouins composés de quelques cabanes appelées « hut » faits en paille, tapis colorés au sol, moustiquaire, et salle de bain à partager.
Entre mer Rouge et montagnes du Sinaï, ce lieu est un endroit magique aux ondes si apaisantes. Un des meilleurs endroits pour se déconnecter lors d’un séjour à la mer Rouge.
Castle Zaman
Gracieusement perché au sommet d’une falaise désertique situé à 20 minutes de Nuweiba, ce château de style médiéval récemment construit, nous transporte dans une atmosphère à la fois luxueuse et respectueuse de l’environnement le temps d’une demie journée. Il a la particularité d’offrir un restaurant haut de gamme et une piscine plongeante avec une vue imprenable sur les sur le golfe d’Aqaba et les montagnes d’Arabie Saoudie, juste en face.
Visiter Dahab et ses envrions, c’est aussi l’occasion découvrir les montagnes roses et ocres du Sinaï, dans un décor de pierre et de plateaux caillouteux, dont l’altitude dépasse parfois 2 000m. De nombreuses possibilités de treks existent dans le Sinaï, adaptés aux randonneurs de tous niveaux.
A proximité de Nuweiba, le monastère Sainte Catherine est le plus vieux monastère chrétien au monde (IVème siècle). Il est classé au Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO. Perdu dans les montagnes désertiques du Sinaï. Le monastère Sainte Catherine est toujours habité par une douzaine de moines. Il contient les plus vieux manuscrits bibliques du monde, après le Vatican.
Le plus souvent, les voyageurs visitent le monastère Sainte Catherine avant ou après l’ascension du Mont Sinaï, tout proche, où Moïse aurait gravé les Dix Commandements.
A Sharm el-Cheikh, lors du passage à l’aéroport international, je ne peux que recommander un arrêt pour découvrir la nouvelle mosquée à l’architecture islamique contemporaine : la mosquée Al-Sahaba qui surplombe la Mer Rouge avec les montagnes du Sinaï en arrière-plan.
Une croisière sur l’éternelle mère du monde est l’occasion de découvrir l’Égypte depuis son fleuve à un rythme détendu. Naviguer sur le Nil est la meilleure façon de découvrir les paysages saisissants de l’un des plus beaux fleuves du monde dans une ambiance douce et sereine. Il faut savoir que le Nil est le plus long fleuve du monde (6 650km) alors quand on parle d’une croisière de quelques jours sur le Nil en Égypte, c’est une toute petite partie que l’on découvre mais bien la plus chargée en histoire.
Retrouver mes différentes offres sur le voyage sur le Nil. Une navigation sur le Nil est un véritable spectacle hors du temps.
Réservation du bateau, des transferts, des tickets de temples, de guides égyptologues francophones, expériences authentiques (visites de villages nubiens, adresses secrètes, pépites locales)…
Ce voyage, je l’ai fait avec une amie. Nous avons voyagé au départ d’Assouan, jusqu’à Edfou (juste en dessous de Louxor). Nous avons voyagé à bord d’une felouque traditionnelle privative (détails ci-dessous) et dans cet article, je vais vous parler de cette expérience magique et ressourçante, de quelques jours de navigation sur le Nil.
Une navigation sur le Nil est un véritable spectacle hors du temps. C’est l’occasion de prendre tranquillement le temps de découvrir la beauté des paysages variés qui défilent sous les yeux entre montagnes, désert et rives fertiles… Le Nil est la porte d’entrée des principaux temples d’Égypte antique à découvrir lors d’une navigation à bord d’une felouque ou d’un Dahabiya (détails ci-dessous) mais aussi l’occasion d’observer la vie locale des paysans en train de cultiver leur terre fertile, le long du fleuve. En fin de journée, le soleil rougeâtre tombant sur le Nil est un spectacle naturel à couper le souffle.
L’Egypte est un don du Nil
Hérodote
La meilleure période pour réaliser une croisière sur le Nil, est entre octobre et avril : le soleil est toujours présent et les températures sont vraiment agréables pour visiter les temples de l’Égypte antique en cours de route. Il est préférable d’éviter les mois d’été les plus chauds (de juin à août). Tout au long de l’année, une légère brise se fait ressentir sur le Nil, ce qui permet aux voiliers de pouvoir toujours avancer.
Pour naviguer sur le Nil de façon unique, traditionnelle et respectueuse de l’environnement il existe des bateaux traditionnels qui avancent au gré du vent : la Felouque.
La Felouque est un bateau traditionnel dirigé par des voiles blanches où la surface est assez limitée avec ses 2 pontons comme lieu de vie, pour profiter du soleil le jour et du ciel étoilé le soir. Elle convient particulière aux voyageurs aventuriers à petit budget car le confort à bord est assez sommaire, bien qu’il y ait tout le nécessaire (wc et douche). Souvent le personnel est d’origine nubienne et cuisine de délicieuses recettes provenant de régions du sud de l’Égypte.
C’est la formule la plus économique en voyageant en privatif.
↠ Compter une durée de minimum de 3 jours/2 nuits.
A bord, l’équipage est composé de 3 matelots qui se relaient à tour de rôle en s’occupant de naviguer, de préparer les repas et d’aménager la felouque pour la nuit.
Nous pouvons nous arrêter quand nous le souhaitons, ce qui nous offre un sentiment particulièrement libre, à bord de notre maison-flottante pour quelques jours, dans cet environnement merveilleux.
À la tombée de la nuit, les fenêtres du ponton inférieur sont recouvertes par d’épais rideaux occultant et l’ambiance à bord de cette croisière privative sur le Nil, y est très chaleureuse. Ancrés sur la rive, c’est l’occasion de mettre les pieds sur terre, de faire un feu, rencontrer des villageois.
Il n’est pas rare de se faire un feu, et d’avoir des paysans qui surveillent leur terre, sortis de nulle part, se joindre à nous. Des moments uniques marqués à jamais.
Le voyageur est celui qui donne le temps de la rencontre et de l’échange
Frédéric Lecloux
A noter : comme une Felouque ne peut débarquer à Louxor, le trajet s’effectue d’Assouan à Edfou à seulement 1h30 de voiture de Louxor.
Proche du débarquement à Edfou, il est amusant de faire une halte à Daraw, le plus grand marché aux chameaux du pays.
Pour naviguer sur le Nil, la navigation se fait exclusivement sur le tronçon Assouan-Louxor (débarquement proche d’Edfou, au sud de Louxor) et dure entre 2 et 7 nuits. Cette étape ne représente qu’une petite partie du Nil en Égypte mais c’est là que la plupart des sites historiques clés s’y trouvent.
Pour découvrir une partie hors des sentiers battus, il est possible de naviguer jusqu’à se rendre sur le site Abou Simbel en croisière de 4j /3n emprunter les eaux très peu fréquentées du lac Nasser et même peut-être avoir la « chance » de croiser des crocodiles dans cette partie…
Le sens d’une navigation sur le Nil dépend du bateau utilisé pour le voyage car il faut savoir que le sens du courant d’eau du Nil va du Sud (Assouan) au Nord (Louxor) et que celui du vent va du Nord au Sud.
Pour voyager sur le Nil de la façon la authentique, je recommande vivement de voyager d’Assouan à Louxor, à bord d’un bateau traditionnel à voile qui avance au gré du vent : la Felouque.
Seuls les bateaux motorisés de type « gros bateau de croisière » ou Dahabiya (lorsqu’ils sont motorisés), pourront naviguer à contre-courant et faire le voyage de Louxor à Assouan.
L’oasis de Siwa, reconnue réserve naturelle depuis 2002, se situe dans le désert occidental à 560 km du Caire, à l’extrême ouest de l’Égypte. De par son isolement, Siwa semble avoir été épargnée du monde moderne. Visiter Siwa c’est se retrouver dans un refuge préservé, au cœur d’une immense mer de sable.
Pour se rendre à Siwa, le trajet de 9h de route depuis le Caire est à lui-même une aventure car il longe une bonne partie de la côte méditerranéenne égyptienne avant de traverser les dunes infinies de la mer de sable du Sahara.
Pour ce voyage, je suis passée par une petite agence locale et j’étais la seule française non-arabophone du petit groupe ! Ouf, les égyptiens parlent très bien l’anglais et sont si chaleureux avec les étrangers, j’ai été considérée comme une vraie petite protégée pour ce voyage insolite !
Après un voyage de nuit direction l’extrême Ouest de l’Égypte, à seulement 50km de la frontière libyenne, nous voilà arrivés dans les paysages enchanteurs de cette magnifique oasis avec un petit café bien matinal, pour se réveiller de ce long périple.
Les paysages de l’oasis de Siwa sont parsemés d’oliveraies, de palmeraies verdoyantes, aux lacs salés aux eaux turquoises et de sources naturelles chaudes, tout cela dans un décor désertique.
Visiter Siwa, c’est profiter de sites naturels encore bien préservés et intactes, y découvrir l’héritage antique de la forteresse de Shali mais aussi aller à la rencontre de la culture des Berbères et des Siwis.
Siwa est l’oasis la plus grande et plus isolée du Sahara, ce qui fait de ce trésor perdu, une destination authentique et préservée. Visiter Siwa, c’est une parenthèse dans un autre monde, avec en bonus, la sensation d’entrer dans un conte des mille et une nuits.
Voyager à Siwa offre une déconnexion totale, telle que l’a sans doute connue Alexandre le Grand quand il est parti à la conquête des splendeurs de Siwa.
Dans un cadre idyllique et préservé, Siwa séduit les visiteurs à la recherche d’authenticité et de tranquillité. Visiter Siwa, c’est visiter l’Égypte autrement, loin des itinéraires classiques et des grands flux touristiques.
Voyager à Siwa, c’est choisir de voyager responsable :
Les communautés locales sont impliquées dans le guidage des voyageurs dans la région. Ils portent une attention particulière à la question environnementale. A Siwa, la qualité de l’accueil, la préservation des paysages, des sites remarquables ainsi que la valorisation des modes de vie sont essentielles.
Séjourner à Siwa, c’est séjourner dans des structures d’hébergements écologiques et favoriser les commerces de la région qui proposent des produits de qualité.
Cette pépite de l’Égypte hors des sentiers battus est un nouveau modèle de tourisme alternatif, éco-touristique et respectueux des traditions locales.
Nous séjournons dans l’éco-lodge Taghaghien Island Resort, situé sur une île isolée au bord du lac Siwa dans un cadre paisible avec de magnifiques paysages et une atmosphère berbère traditionnelle.
L’éco-lodge le plus luxueux du coin s’appelle Taziry Ecovillages Siwa et même s’il reste assez onéreux d’y séjourner, y dîner est une expérience unique !
Taziry a été construit au pied de la célèbre montagne rouge de Siwa surplombant le vaste Lac Gary et les dunes intemporelles du Sahara. Taziry offre une expérience unique de retour à la nature, où l’on peut vraiment ressentir l’énergie magique de Siwa.
Visiter l’oasis de Siwa, c’est pénétrer dans un magnifique décor fait de palmeraies, lacs salés, oliveraies et dattiers. Entre nature et culture, les différents paysages de Siwa sont tout aussi grandioses les uns que les autres.
Au centre de Siwa, se trouvent les ruines de la forteresse de Shali qui, perchée sur un massif, a été construite au 13e siècle pour protéger les Berbères de l’invasion bédouine. Construite à partir d’un matériau connu sous le nom de kershef (mélange d’argile, sel et pierre), la ville s’est effondrée en 1926 après trois jours de fortes pluies. Les habitants ont dû la quitter et trouver un autre lieu de vie.
Récemment, la forteresse a été rénovée en suivant les techniques de construction ancestrales. Lors de son inauguration en 2020, la citadelle antique de Shali a été définie comme haut lieu du tourisme responsable par le ministère des Antiquités égyptiennes.
Nous déambulons dans les ruelles de la vieille ville de Shali, toujours accompagnés de notre guide local qui nous montre comment se composaient autrefois les maisons, aujourd’hui sans toit. Il est difficile de s’imaginer qu’ici vivait toute une communauté…
« Shali » est un mot siwi qui signifie ville.
Au coeur de la vieille ville récemment rénovée, se trouvent de petites échoppes de charme colorées où l’on peut retrouver des produits locaux tels que des tapis tissés par des femmes berbères ou encore des nombreux produits à base d’olives ou encore de sel…
Les eaux thermales font partie des richesses de la ville. C’est une étape incontournable d’un séjour à Siwa. Près du centre de Siwa se trouve la piscine naturelle connue sous l’appellation de bains de Cléopâtre, qui y aurait nagé. L’eau limpide et légère de la source est transparente, pure et chaude. Il se dit que se baigner dans l’eau des bains de Cléopâtre est source de vertus médicinales efficaces.
A quelques pas de ces lacs, palmeraies et de la cité antique, se trouvent de petits bains naturels à forte teneur en sel qui font flotter les baigneurs. Les eaux sont translucides et le sel, qui a un impact sur l’énergie positive, ne veut peut que nous faire passer un excellent moment dans cet endroit improbable, ici, au milieu du Sahara.
Fatnas est une petite île sur le lac Birket, accessible à pied ou à vélo. Visiter l’île de Fatnas permet de passer un moment à se promener dans un jardin verdoyant à travers une grande variété d’arbres (bananiers, dattiers, oliviers, etc). En fin de journée, les couleurs du coucher du soleil qui tombent sur le lac Birket sont radieuses, avec les montagnes blanches de Jebal Beida en toile de fond.
Situé tout près du centre-ville, la colline des morts (Gebel el-Mawta en arabe) est une falaise de calcaire truffée de tombes datant de la 13ème dynastie. Certaines tombes n’ont toujours pas été fouillées. Beaucoup ont été pillées et vendues aux visiteurs étrangers. Les tombes de cette nécropole comportent en général une entrée avec des niches et une pièce contenant le sarcophage.
Se rendre dans l’oasis de Siwa, c’est aussi vivre l’expérience d’un safari dans les dunes du Sahara dont les hauteurs peuvent atteindre 250 mètres. Un chauffeur-guide qui connaît le désert comme sa poche emmène les voyageurs explorer le désert, s’amuser à remonter et redescendre les dunes.
Cette expérience dans le Sahara en Égypte permet de se rendre compte de ce que le désert a à offrir, de son immensité et de ses points de vue époustouflants. Au moment du coucher du soleil, les couleurs du sable passent progressivement du jaune à l’orangé, jusqu’au rouge.
Une expérience magique en profitant d’une nuit dans un camp bédouin, sous les étoiles.
J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien.
Antoine de Saint-Exupéry
Les habitants de Siwa, les Siwis, parlent leur propre langue, un dialecte berbère. Siwa étant le point le plus oriental de ce peuple nomade, les pratiques culinaires des Siwis se rapprochent de celles des autres berbères avec comme plat traditionnel, le couscous. Les siwis, sont un peuple chaleureux, fiers et assez conservateurs de leurs traditions qui résistent grâce à leur isolement.
La particularité de Siwa ? Contrairement aux autres déserts, Siwa n’abrite pas de chameaux. Les bêtes sont menacées par une espèce de mouche nuisible pour elles. Les ânes sont donc les principaux animaux des locaux.
Visiter Siwa peut se faire tout au long de l’année sauf en été, lorsque les températures sont trop chaudes et les vents de sable trop fréquents. En hiver, et particulièrement en décembre et janvier, comme très souvent dans le désert, les nuits peuvent être très fraiches.
La seule façon de se rendre à Siwa est par la route, en passant par une agence.
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La vie de Dian Fossey (1932-1985), une primatologue américaine spécialisée dans l’étude du comportement des gorilles, m’a particulièrement marquée. Cette femme aura vécu plus de 13 ans auprès de ces singes géants des forêts du Rwanda pour réaliser son rêve le plus cher : démontrer que les gorilles sont des êtres tout à fait inoffensifs (avec des personnalités et des vies sociales riches) et surtout : les sauver de l’extinction.
Lorsque Digit, son gorille préféré, est retrouvé tête et mains coupées par des braconniers, cette épreuve intensifie le combat de Dian qui ne se remettra jamais de cette perte. Quelques années plus tard elle subit le même sort, assassinée dans sa case. Cette fin tragique fera d’elle à jamais une icône de la lutte pour la préservation d’espèces menacées.
Elle est enterrée dans Parc des Volcans, au Rwanda, dans le petit cimetière qu’elle avait créé pour les gorilles. On peut visiter sa tombe qui touche celle de Digit. Il existe une super adaptation cinématographique : « Gorilles dans la brume » (1988)
Isabelle Eberhardt (1877-1904) est une aventurière solitaire, fascinée pour l’Afrique du Nord et la magie spirituelle des déserts. A l’âge de 20 ans, elle part se ressourcer dans les mondes intérieurs du Maghreb. Habillée en homme, portant le pseudonyme de Mahmoud Saadi, elle se convertit à l’islam, parle couramment l’arabe et partage la vie des nomades en ne cessant d’explorer le désert.
Elle meurt brutalement dans le désert à 27 ans et laisse derrière elle plus de 2000 pages carnets et récits de voyages précieux du monde arabe et musulman du début du 20ème siècle.
Ses principales œuvres : La vagabonde des sables, Au pays des Sables, Yasmina, Un Désir d’Orient, Nomade, j’étais, Notes de Route, Ecrits sur le sable, Dans l’ombre chaude de l’Islam…
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Basé sur des faits réels assez méconnus de « la génération volée » qui s’est passé en Australie dans les années 1930, ce film retrace la vraie histoire de trois jeunes filles aborigènes enlevées de force à leurs parents. Elles feront tout pour les retrouver en s’échappant de leur couvent et parcourant plus 2 500 km dans le désert australien.
Un film d’une grande violence moral et une ode à la liberté et au respect des minorités ethniques
Il s’agit de l’adaptation du livre Follow the Rabbit-Proof Fencede Doris Pilkington
Ce film parle avant tout de choc culturel mais aussi d’une rencontre entre deux expatriés perdus dans un monde si loin du leur. La forte complicité qui va se créer entre eux est bouleversante et déstabilisante.Un film unique en son genre qui m’a particulièrement touchée et dans lequel je me suis reconnue lors de certains voyages.
« Lire, c’est voyager; voyager, c’est lire » –
Victor Hugo
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Dans ce livre, Sylvain Tesson, grand voyageur solitaire, trouve son bonheur là où les autres n’ont pas osé le chercher : loin de notre société. Il retrace sous forme de carnet de bord son retrait dans une cabane au fin fond des forêts de Sibérie, au bord du lac Baïkal. J’ai lu ce livre dans le transsibérien et j’ai adoré ses pensées inspirées, les descriptions minutieuses de la nature qui l’entoure.
J’ai adoré l’histoire de ces 3 femmes qui vivent dans des continents différents mais qui mènent le même combat : celui de ne jamais renoncer malgré les embûches et les découragements traversés. Livre très émouvant mais qui donne une pêche formidable.
Ce roman fait voyager entre émotions, sentiments et plaisirs de la vie tout en traversant différents pays. J’ai adoré la prise de conscience de l’auteur qui aborde de magnifiques réflexions sur la vie et sur soi.
Un petit bonheur, une façon de se ressourcer, de prendre du recul. Oui, il suffit de peu de choses pour changer la vision que l’on porte sur le monde. Juste profiter des choses, des petites choses, de l’instant présent…
Cette autobiographie m’a beaucoup marquée. Nous suivons la descente aux enfers de cet enfant soldat de Sierra Leone qui se transforme petit à petit en machine de guerre. Ce livre est tellement prenant et dramatique, nous avons envie d’une chose : le protéger et le sortir de là. Et dire que de nos jours cela existe encore…
Ce livre nous montre de façon captivante la vie des femmes Afghanes et de leurs tristes destinées. Ces femmes qui depuis des générations n’ont ni droit ni statut et qui n’existent tout simplement pas aux yeux de la loi. Une vraie leçon de vie et une prise de conscience de la chance que nous avons d’être nés où nous le sommes.
Top départ d’un voyage de plus de 9.300 km à bord du train mythique : le Transsibérien. L’écrivain nous embarque avec lui et nous décrit à la perfection l’ambiance à bord et ce voyage qu’il va parcourir d’une seule traite pendant l’hiver russe. Dehors il fait froid et c’est tout blanc… A l’intérieur, il fait bon à se réchauffer de petits verres de vodkas. Ecrit avec beaucoup d’humour, c’est un magnifique voyage qui nous attend à bord de ce train mythique .